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Mantes histoire

Mantes Histoire

La ville de Mantes et ses monuments vers 1650

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La gravure de Mantes en 1650 dans l'ouvrage de Caspar Merian. Elle montre la ville de Mantes depuis les hauteurs des collines de Limay, de l'autre coté de la Seine. Elle est entourée à gauche et au fond par des collines, en bas par la Seine et à droite par le faubourg Saint-Pierre. En dehors des murs de la ville, ce sont surtout des champs que l'on peut voir. Au premier plan, c'est le village de Limay.

Perdu au milieu de la campagne, le village de Mantes-la-Ville (car c'était encore un village), est niché entre les collines au fond à gauche. Le couvent des Cordeliers, sur la partie gauche de l'image, est la dernière étape avant de rejoindre la porte des Cordeliers, plus à droite. On distingue essentiellement leur chapelle, avec la flèche à la croisée du transept, et une partie plus basse sur la droite. Le ravelin des Martraits, pointant vers la gauche, apparaît à côté de la porte des Cordeliers. La porte des Cordeliers, sur le mur d'enceinte à gauche et qui va versle fond de l'image, est relativement visible, elle fait perspective juste à côté de la tour de Ganne à sa droite Le château-Fêtu, ou Têtu, petit bastion situé sur la partie gauche visible du mur d'enceinte et qui fait le coin. La tour Saint-Nicolas, élément de Château Fêtu/Têtu, visible sur la partie gauche de la ville, qui avance dans la Seine. À peine visible, la porte au Prêtre est discernable par une légère surélévation du la partie supérieure du mur d'enceinte, à droite de la tour Saint-Nicolas. La tour Saint-Martin, peu visible au fond entre la tour de Ganne et le prieuré Saint-Martin L'église du prieuré Saint-Martin, calée entre Notre-Dame et la tour de Ganne, mais aussi juste au-dessus des dépendances du château, a la nef parallèle à l'image, et sa flèche gracile pointe vers le ciel. L'édifice massif, couronné de créneaux et surmonté d'un toit en lame de hache est situé près du coin gauche de la ville, côté Seine, près de la porte des Cordeliers et entre Château-Fêtu et la porte au Prêtre. En plus de la tour de Ganne, située juste à gauche, le château comportait différentes dépendances, donc une chapelle et des écuries, qui se trouveient sensiblement à cet endroit, entre la tour de Ganne et Notre-Dame. Notre-Dame, située au milieu de la partie gauche de la ville, est à peu près parallèle à la Seine. Les arcs-boutants soutiennent la nef jusqu'aux deux tours qui la terminent sur la droite. Le Fort, situé tout près de Notre-Dame, sur sa droite, apparaît sous la forme de deux tours basses et carrées surmontées de créneaux. La porte aux Images, présentée de façon simplifiée, est la porte reliant la ville à l'autre rive de la Seine grâce au pont. On reconnaît là un ouvrage ornementé sur le gros œuvre carré. La porte au Pelu se situe entre la porte aux Images et la porte du Milieu. Elle se caractérise ici par ses deux tours rondes qui l'encadrent. La porte du Milieu, située juste à droite de la porte au Pelu, se présente sous la forme d'un ouvrage rectangulaire vertical. La porte semble fermée, car aucune ouverture n'est visible. Ce qui semble être le couvent des Ursulines ressemble à une grande bâtisse, située entre le Fort et l'église Saint-Maclou L'hôtel de ville est visible tout au fond de la partie apparente de la ville. Il se présente simplement sous la forme d'un petit clocher émergeant des maisons, entre Notre-Dame et Saint-Maclou Le clocher de la chapelle est visible juste à gauche de Saint-Maclou Un des éléments qui ressortent particulièrement de la gravure, la nef parallèle à l'image, accompagnée de son bas-côté, dépasse de l'ensemble, mais aussi et surtout la tour, accolée sur la droite de la nef. Elle est située près des murs de la ville sur la droite. La porte de Rosny, à l'origine un élément important des fortifications, se situe sur le coin supérieur droit apparent de la ville. Il n'y a guère de détails à en tirer. Le ravelin de la citadelle la prolonge dans les champs versla droite. La ravelin de la Citadelle, au-dessus de celui de Buhy Le ravelin de Buhy, juste au-dessus du ravelin Saint-Roch, se trouve juste au-dessus de la porte Chant à l'oie. La porte Chant à l'oie, sur la droite de la ville et au-dessus de la tour Grise, semble très stylisée, car elle ne se présente que sous la forme d'un édifice rectangulaire percé d'une porte. Le ravelin de Saint-Roch, le plus près de la Seine à droite La tour Grise, située sur la droite de la ville, au-dessus de la tour à Masson, se présente simplement sous la forme d'une petit édifice au toit pointu sans aucun détail particulier. Petite échauguette attachée au côté droit du mur dominant la Seine, à droite de la porte du Milieu. Petite échauguette attachée au côté droit du mur dominant la Seine, à droite de la porte l'échauguette précédente. La tour à Masson, imposant ouvrage de maçonnerie surmonté de créneaux, fait l'angle de la cité fortifiée à droite, et s'enfonce partiellement dans la Seine. Le faubourg Saint-Pierre, au fond à droite, est tout juste visible, notamment grâve au clocher de l'église Saint-Pierre. Au fin fond de l'image à droite, au milieu du faubourg du même nom, on discerne le clocher de l'église, sans autre détail. La porte du pont est bâtie au milieu du pont et sert de frontière entre Mantes et Limay. Le vieux pont, très sinueux, partant de la porte au Images, enjambant la Seine et atteignant Limay au premier plan. Une porte se trouve en son milieu. Le village de Limay, au premier plan, beaucoup plus petit qu'aujourd'hui, est organisé autour de l'église dont le clocher surgit du relief au premier plan et le chemin qui le travers pour aller au vieux pont. L'église de Limay est partiellement cachée par le relief au premier plan, mais on remarque cependant très bien sa flèche et son transept. Église des Célestins, dont on voit le clocher et le toit au premier plan, se trouve à l'écart du village, sur la droite, en contrebas du point de vue de l'image. Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié Édifice non identifié